Lors de la semaine de travaux et d’études, du 24 octobre au 28 octobre 2016, le service de transport par autobus (navette n° 23) qui circule entre le campus et le stationnement alternatif sera interrompu.
Cependant, pour cette même période, le stationnement sur le campus sera ouvert au public et gratuit pour tous.
Pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter la page Web du stationnement.
La Semaine internationale du libre accès se déroule cette année du 24 au 30 octobre. La Bibliothèque profite de l’occasion pour vous en apprendre davantage sur le mouvement du libre accès.
La 10e semaine internationale du libre accès se déroule du 24 au 30 octobre prochain. Cette initiative a pour but de mieux faire connaître le libre accès et d’insister sur l’importance de la diffusion de la recherche et des communications savantes.
Qu’est-ce que le libre accès?
Le libre accès est un mouvement qui part de la volonté de rendre accessibles les résultats de recherche rapidement et gratuitement par Internet. L’objectif du libre accès est de donner accès aux ressources, sans défrayer les coûts faramineux d’abonnements aux revues scientifiques exigés par les éditeurs, tels qu’Elsevier, Springer, Wiley…
Dans le modèle commercial proposé par les éditeurs, les abonnements sont souvent payés jusqu’à deux fois, car le chercheur doit débourser afin de publier dans ces revues et l’université doit également assumer le coût des abonnements à ces revues afin d’avoir accès aux articles de ses propres chercheurs, souvent subventionnés à même les fonds publics…
Le mouvement du libre accès propose un autre modèle de partage de la recherche que ceux mis de l’avant par les grandes maisons d’édition. Deux approches sont préconisées dans le libre accès : la voie verte et la voie dorée.
– Par voie verte, on entend un auto-archivage des publications scientifiques, soit par le truchement d’un dépôt institutionnel ou par le biais d’un site Web personnel par exemple.
– Par voie dorée, on entend la transformation de revues déjà existantes chez des éditeurs, donc des revues qui requièrent un abonnement payant, en revues disponibles gratuitement.
Outre l’accès gratuit aux publications scientifiques, le libre accès offre plusieurs avantages, tels que de:
Plusieurs universités canadiennes et québécoises ont emboîté le pas vers le libre accès en ratifiant la Déclaration de Berlin qui engage l’établissement signataire à promouvoir et mettre en place la voie du libre accès dans son institution. Pour sa part, le conseil d’administration de l’UQTR a adopté le 18 avril dernier la Politique sur le libre accès aux résultats de la recherche et a également entériné la signature de la Déclaration de Berlin. Dans plusieurs établissements cela se traduit par la mise en place d’un dépôt institutionnel, d’une offre de soutien et d’accompagnement pour les chercheurs afin qu’ils publient dans des revues en libre accès.
De plus, depuis septembre 2014, les organismes subventionnaires tels que le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et le Conseil de recherche en sciences humaines exigent, lors d’octroi de bourses ou de subventions, que les chercheurs et équipes de recherche publient leurs résultats soit dans une revue en libre accès, soit dans un dépôt institutionnel. De cette façon, ces organismes subventionnaires, financés à même les fonds publics, s’assurent que les résultats de ces recherches sont accessibles gratuitement et rapidement à tous, et ce, 12 mois après la publication.
En ce qui a trait à l’UQTR, le Service de la bibliothèque a présenté, entre 2015-2016, le dossier du libre accès aux différentes tables institutionnelles (Table d’échange des unités de recherche (TEUR), Conférence des directrices et directeurs de départements (CDDD), Sous-commission de la recherche (SCR) et la Commission des études (CÉ)). Le projet proposé par le Service de la bibliothèque : offrir un dépôt institutionnel, avec service clef en main, permettant le rayonnement en libre accès des productions intellectuelles des chercheurs de l’UQTR. En novembre 2015, un concours a été lancé auprès de la communauté universitaire par le Décanat de la recherche et de la création et le Service de la bibliothèque afin de baptiser ce nouveau dépôt : le nom Cognitio a été retenu. Cet automne, le Service de la bibliothèque, en partenariat avec différents départements et unités de recherche volontaires, démarre un projet pilote afin de peaufiner le processus de dépôt des productions intellectuelles dans Cognitio. Un site Web consacré au libre accès ainsi qu’au dépôt institutionnel sera également mis en ligne sous peu.
Il est également possible de consulter gratuitement, donc en accès libre, les thèses et mémoires des étudiants répertoriées dans le dépôt numérique de la bibliothèque. Ce dépôt est disponible via l’Outil de découverte, le catalogue de la bibliothèque, en sélectionnant l’onglet Dépôt numérique. Comme les thèses et mémoires de nos étudiants sont répertoriées dans le dépôt numérique de l’UQTR, ceux-ci sont automatiquement moissonnés et repérés par les moteurs de recherche tels que Google, ce qui leur offre une visibilité accrue. À ce titre, depuis le 1er septembre 2015, plus de 630 000 téléchargements de thèses et mémoires provenant du dépôt numérique ont été téléchargés à travers le monde!
Lire toutes les chroniques Infobiblio.
Poumons, cœur, viscères, nerfs, artères et squelette! C’est une fin de semaine bien spéciale et combien enrichissante qu’une centaine d’enseignants et techniciens de laboratoire des programmes de santé de plus de 30 cégeps et collèges de la province ont vécu au Laboratoire d’anatomie humaine de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).
Image d’archives
Les 28, 29 et 30 octobre derniers se tenait le premier Colloque en pédagogie de l’anatomie, organisé par le Service de la formation continue et de la formation hors campus et par le Département d’anatomie de l’UQTR. Durant cet événement, 20 activités de formation sur cadavre et de formation pédagogique étaient proposées aux participants.
Cet événement prend source en 2013, alors que le directeur du Département d’anatomie de l’UQTR, le professeur Gilles Bronchti, a l’idée de s’associer à trois collèges de la région de la Mauricie pour créer le Carrefour anatomique: un réseau de collaboration favorisant les échanges entre le Laboratoire d’anatomie de l’UQTR et les collèges participants, en vue d’améliorer la formation en santé des étudiants et des enseignants de plusieurs programmes de formation liés à la santé.
Après trois ans, le Carrefour anatomique propose d’élargir son activité à l’ensemble des cégeps et collèges du Québec. Ce colloque représentait donc une première étape vers cet objectif. Outre les activités de formation dont ils ont bénéficié, les participants ont également été invités à réfléchir à leurs besoins en enseignement et en ressources pédagogiques, en plus d’échanger sur leur vision et la forme que pourrait prendre le déploiement du Carrefour anatomique à l’échelle provinciale.
Le Laboratoire d’anatomie humaine de l’UQTR, créé en 1993, s’est développé au fil des ans pour devenir une référence dans le milieu universitaire québécois. L’expansion du secteur de la santé à l’UQTR au cours des deux dernières décennies, de même que la collaboration avec la Faculté de médecine de l’Université de Montréal pour la formation des médecins, ont accentué son rayonnement à travers la province.
Pour obtenir davantage d’informations concernant cet événement et les possibilités de formation continue au Laboratoire d’anatomie humaine de l’UQTR, contactez M. Gilles Bronchti, directeur du Département d’anatomie au 1 800 365-0922, poste 3352 ou Mme Marie St-Hilaire, conseillère à la formation continue au poste 2528.
Le Centre de l’activité physique et sportive (CAPS) Léopold-Gagnon de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) est heureux d’annoncer aux parents le retour des Journées Pédagogiques Sportives (JPS) pour l’année 2016-2017. Destinées aux enfants de 5 à 12 ans, des activités sportives dirigées animeront vos enfants entre 7h30 et 17h30 lors des journées pédagogiques du calendrier scolaire. Au coût de 29$ par jour, votre enfant sera pris en charge jusqu’à votre retour du travail.
crédit photo: Benoît Villemure
Les JPS comportent un service de garde pour le matin (7h30-9h) et le soir (16h-17h30). Quant aux activités dirigées (9h-16h), elles se déroulent au CAPS de l’UQTR. Ces journées offrent une grande variété de thèmes et d’activités qui sont animés par des étudiants universitaires en éducation et en activité physique. Ceux-ci ont d’ailleurs reçu leur cours de premiers soins et d’administration d’auto-injecteur en cas de réaction allergique. Ils supervisent l’ensemble des activités: jeux gonflables, hockey, cheerleeding, piscine, sports d’hiver, etc. Du matin au soir, les enfants auront pour seuls besoins, des vêtements de sport, un dîner froid et leur énergie.
Les parents pourront donc avoir l’esprit tranquille pour 29$ par journée pédagogique.
Voici l’horaire des journées du calendrier 2016-2017 où vos enfants pourront s’éclater:
Pour toutes informations, vous pouvez vous visiter le site : caps.uqtr.ca/wpcaps/journees-pedagogiques-sportives
ou bien contacter : Kim Dingle 819 376-5254, poste 4412 ou Lisa-marie Lemire au 819 376-5254 poste 4363
camp.multisports@uqtr.ca
À propos – Le Service de l’activité physique et sportive de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a pour mission d’inciter la communauté universitaire et la clientèle hors campus à adopter un mode de vie sain et actif tout en collaborant avec ses partenaires au développement de l’excellence sportive et des activités d’enseignement de l’UQTR. Pour plus d’informations sur nos activités ou sur l’actualité des Patriotes, visitez notre site Web et notre page Facebook.
La période de déneigement sera en vigueur du 15 novembre 2016 au 15 avril 2017 inclusivement. Lors de cette période, le stationnement sera interdit à certains endroits afin de faciliter le déneigement.
Les personnes qui contreviennent aux règles relatives à la période de déneigement s’exposent à un constat d’infraction.
C’est le moment de penser à votre permis de stationnement pour la session d’hiver 2017! La page Web du stationnement a été mise à jour.
PERMIS POUR LES EMPLOYÉS
Les employés qui désirent obtenir un permis de stationnement peuvent en faire la demande dans leur dossier de stationnement ou se présenter au Centre de ressources multiservice.
PERMIS POUR ÉTUDIANTS
Les étudiants qui désirent obtenir un permis de stationnement «Zone A, B ou C» doivent s’inscrire au tirage dans leur dossier de stationnement.
L’inscription au tirage se fera du 1er au 19 décembre 2016 inclusivement. Le tirage aura lieu le 20 décembre 2016. Les participants seront informés des résultats par courriel.
Les permis pour étudiants seront mis en vente au Centre de ressources multiservice, du 21 au 23 décembre 2016. Tous les permis, incluant le laissez=passer STTR, seront disponibles uniquement aux kiosques du hall Gilles-Boulet, du 5 au 18 janvier 2017. Après le tirage, les permis non réclamés seront remis en vente aux kiosques du hall Gilles-Boulet, le 18 janvier 2017.
Les étudiants qui obtiennent un permis «Réservé» pour les résidences avant le 20 décembre 2016 ne pourront pas participer au tirage pour les permis des zones A, B et C.
CONSTATS D’INFRACTION
Le coût des constats d’infraction est à 43$ (incluant les frais d’administration). Les constats d’infraction sont émis par la Ville de Trois-Rivières qui est mandatée pour assurer le respect de la réglementation dans les parcs de stationnement de l’UQTR.
PERSONNES HANDICAPÉES
Des espaces de stationnement pour personnes handicapées sont disponibles, gratuitement, aux détenteurs d’une vignette de stationnement pour personne handicapée telle que définie par la SAAQ.
SEMAINE DE RELÂCHE
Lors de la semaine de travaux et d’études, du 6 au 10 mars 2017, le service de transport par autobus (navette n° 23) qui circule entre le campus et le stationnement alternatif est alors interrompu. Cependant, pour cette même période, le stationnement sur le campus sera ouvert au public et gratuit pour tous.
SESSION D’ÉTÉ 2017
La vente des permis de stationnement est normalement annoncée 30 jours avant le début de chaque session sur cette page, sur le portail étudiant et sur le PersoNet.
À partir du 26 novembre 2016, de nouvelles interdictions s’ajoutent conformément à la Loi visant à renforcer la lutte contre le tabagisme.
Le 26 novembre 2015, la Loi visant à renforcer la lutte contre le tabagisme a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée nationale. Cette loi encadre l’utilisation de la cigarette électronique et prévoit des dispositions plus sévères à l’égard des contrevenants aux règles d’usage du tabac.
Voici les principaux changements pour les membres de la communauté universitaire:
Depuis novembre 2015
Depuis mai 2016
À partir du 26 novembre 2016
Vous pouvez consulter la liste complète des modifications à la Loi ainsi que leur date d’entrée en vigueur sur la page Web du ministère de la Santé et des Services sociaux.
Des inspecteurs accrédités par le ministère de la Santé et des Services sociaux circulent régulièrement sur le campus et auront pour directive d’assurer le respect de ces directives ainsi que toutes les dispositions prévues dans la Loi concernant la lutte contre le tabagisme et la Politique relative à l’application de la Loi sur le tabac de l’UQTR.
Nous demandons aux fumeurs d’agir de manière responsable et d’être respectueux envers autrui.
En vous remerciant de votre collaboration.
Merci! Ce simple mot aurait le pouvoir d’améliorer grandement notre santé émotionnelle. La gratitude, qu’on appelle aussi l’appréciation ou la reconnaissance, est le sentiment qui nous fait apprécier la vie. C’est un ingrédient essentiel du bien-être et du bonheur.
Pratiquer la gratitude aiderait à centrer son attention sur le plein (l’abondance), sur les choses heureuses de la vie et à développer des émotions positives. Cette pratique permettrait de faire contrepoids au sentiment de manque qui nous habite bien souvent. En effet, quotidiennement, nous sommes préoccupés par ce qui nous manque ou par la peur de manquer de temps, d’argent, de santé, de compétence, d’habiletés, d’énergie; par l’impression ou la certitude de manquer de motivation, de contrôle, de succès, de confiance, d’amour, de reconnaissance.
Que notre attention soit centrée sur le manque n’est pas une mauvaise chose en soi et peut même être un moteur de la motivation à agir. Mais lorsque ce manque est associé à un sentiment d’impuissance de notre part, alors l’organisme réagit par l’anxiété et le stress. Au contraire, se réjouir de ce que nous considérons souvent comme des acquis, une famille, un toit, une bonne santé par exemple, nous fait apprécier davantage notre vie et contribue au sentiment de bien-être.
Selon Robert Emmons, professeur de psychologie de l’Université de Californie et auteur du livre Merci!, pratiquer la gratitude permet de «détourner l’attention du moi, de la diriger davantage vers les autres et ce qu’ils nous procurent». Ainsi, nous nous sentons moins seuls. Pour le psychiatre et psychothérapeute Christophe André, la gratitude est «bénéfique à l’estime de soi, car elle augmente le sentiment d’appartenance à un groupe, à une lignée, à une collectivité humaine». Elle serait un antidote au sentiment de solitude existentielle.
La gratitude nous aiderait également à regarder derrière nous pour apprécier le chemin parcouru et souffler un peu dans notre quête constante d’atteinte de nos objectifs et, par le fait même, nous permettrait d’apprécier nos réalisations et nos succès. La gratitude favoriserait une meilleure santé. Selon certaines études, ceux qui pratiquent régulièrement la gratitude prennent mieux soin d’eux (en faisant entre autres plus d’activité physique), dorment mieux, ont une meilleure résistance au stress et plus de détermination.
Toujours selon Robert Emmons, la gratitude est bienfaisante quand elle est exprimée en toute conscience, après être passée par deux étapes. D’abord, la constatation du bien reçu – il peut être matériel (cadeau) ou immatériel (soutien, présence), et de son coût (l’effort qu’il a demandé). Ensuite, «la reconnaissance du fait que la source de ce bienfait se trouve en dehors de soi», indique le psychologue. Source qui peut être une autre personne, mais aussi la vie elle-même.
Exercices de gratitude
Cet exercice permet d’entrer en contact avec le sentiment de plein (se sentir riche à l’intérieur) et d’abondance dans notre vie. Cet exercice qui ne prend que quelques minutes est à pratiquer régulièrement, si possible tous les jours. Vous pouvez simplement prendre un temps d’arrêt, au lever, au coucher, en marchant, lors de vos déplacements et vous demander:
On peut aussi noter quotidiennement dans un journal de gratitude quelques éléments pour lesquels on éprouve réellement de la reconnaissance (et les raisons qui expliquent pourquoi on est reconnaissant), par exemple, un bon moment avec un ami, un bon repas ou le fait d’être en santé. L’important est de vous remplir émotivement de tout ce que vous appréciez dans votre vie.
En résumé, pratiquer la gratitude est une bonne stratégie pour diminuer le stress et l’anxiété, développer des pensées positives, améliorer ses relations aux autres et augmenter sa satisfaction de vie et son sentiment de bien-être.
Références
http://www.prendreconfiance.com/gratitude-guide-essentiel/
http://www.oserchanger.com/blogue_2/2013/05/17/la-gratitude-un-exercice-contre-le-stress/
Emmons, R. (2008) Merci! Paris, Belfond.
Pour souligner l’arrivée du temps des Fêtes, la bibliothèque Roy-Denommé a réalisé un arbre de livres multicolore, décoré d’objets créés à l’aide de l’imprimante 3D. Combien de livres composent cet arbre? C’est la question que nous vous posons!
Vous êtes invités à venir observer l’arbre, situé dans l’aire d’accueil de la bibliothèque Roy-Denommé, afin d’estimer le nombre de livres utilisés pour le concevoir. En remplissant un coupon-réponse, vous participerez au concours pour gagner un panier-cadeau composé d’une variété de livres.
De plus, près de l’arbre vous découvrirez des «livres-cadeaux-mystères». Des ouvrages généraux sur des thèmes variés, notamment les voyages, la cuisine, le cinéma, les arts, etc., ont été emballés afin de vous offrir une lecture surprise bien méritée en cette fin de session. Et pour ceux et celles qui aimeraient faire profiter de l’expérience à leur tout petit, des livres de Noël pour enfants, provenant de la collection de littérature jeunesse, ont aussi été emballés. Ces derniers sont identifiés à l’aide de choux dorés.
Le concours pour estimer le nombre de livres se termine le 20 décembre tandis que les « livres-cadeaux-mystères » offerts en prêt ne sont disponibles qu’en quantité limitée. Alors, dépêchez-vous de passer à la bibliothèque Roy-Denommé!
Lire toutes les chroniques Infobiblio.
L’AGE UQTR et Le 1030 sont fiers de vous inviter au 1012, pavillon Nérée-Beauchemin de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), ce mercredi 11 janvier dès 22h, pour le spectacle de la rentrée universitaire mettant en vedette l’un des artistes les plus en vue sur la scène internationale: Gazzo.
Arrivant tout droit du New Jersey, Gazzo ne cesse de faire exploser les planchers de danse du monde entier. Il s’est très vite fait remarquer sur la scène électronique en créant des compositions avec nul autre que Disco Fries, Y LUV, Matt McAndrew, Scott Chesak et plusieurs autres. Gazzo débutera sa tournée mondiale 2017, ici même au Québec, et il est très excité de vous faire découvrir ses dernières réalisations de son épisode Évolution. Il saura vous en mettre plein la vue toute la soirée!
Cette soirée est gratuite pour tous les étudiants de l’UQTR. Des billets seront en vente au coût de 15$ pour les gens qui ne fréquentent pas l’université. Ne manquez surtout pas cette occasion d’assister à l’événement dont on parlera encore dans plusieurs années! On se donne tous rendez-vous ce mercredi, 11 janvier, dès 22h!
De plus, en même temps, c’est avec son répertoire constitué des meilleures chansons québécoises et du top 40 d’hier à aujourd’hui, le groupe musical Lendemain de veille fera danser et chanter la foule qui se présentera au café-bistro La Chasse-Galerie, comme s’il n’y avait pas de lendemain! Attachez-vous bien, car la terrasse de la Chasse-Galerie sera couverte et chauffée spécialement pour l’événement.
Vous n’avez pas obtenu de permis de stationnement pour la session d’hiver? Vous cherchez une solution de stationnement? Le stationnement alternatif, c’est pour vous!
Mais de quoi s’agit-il?
Depuis l’automne 2011, l’UQTR met à la disposition des membres de la communauté 450 espaces de stationnement, situés sur les terrains du Parc de l’exposition de Trois-Rivières, à l’angle du boulevard des Forges et de la rue Papineau.
Combien ça coûte?
C’est gratuit, si vous optez pour une marche de santé. Certains de vos amis font peut-être l’équivalent du trajet, puisqu’ils ont opté pour un stationnement en zone résidentielle, parfois assez loin dans les rues autour de l’université.
Si vous préférez gagner du temps, vous avez l’option d’acheter un laissez-passer mensuel de la Société de transport de Trois-Rivières (STTR) au coût de 5$ par mois. Grâce aux navettes rapides qui circulent aux heures de pointe, vous ferez le trajet entre votre voiture et la porte de votre pavillon en trois minutes. En prime, votre laissez-passer STTR sera valide pour tous les autres circuits, et ce, en tout temps.
Finalement, les utilisateurs du stationnement alternatif ont une autre option: le permis alternatif. Pour 48$ par session, ce permis comprend un laissez-passer STTR et vous permet de garer votre véhicule sur le campus le soir (après 16h, du lundi au jeudi) et la fin de semaine (dès 11h le vendredi). Comme la formule précédente, vous pourrez utiliser le réseau de transport en commun en tout temps.
Découvrez tous les détails relatifs au stationnement alternatif sur la page Web du stationnement
Une campagne de sensibilisation axée sur l’adoption d’une conduite automobile responsable et sécuritaire chez les membres de la communauté universitaire aura lieu du 16 janvier au 17 février 2017.
Dans le cadre de cette campagne, le Service de la protection publique accentuera les opérations de surveillance aux abords des voies de circulation afin de s’assurer du respect de la limite de vitesse (30 km/h) et des règles générales de circulation (arrêts obligatoires, etc.). Les usagers qui démontreront une conduite exemplaire pourraient se voir remettre un billet… de reconnaissance!
Nous tenons à vous rappeler que le Code de la sécurité routière, le règlement relatif au stationnement et le règlement relatif à la sécurité s’appliquent en tout temps sur le campus. En vertu de ces règlements, tout automobiliste (employé, étudiant, visiteur, entrepreneur ou autre) qui ne respecte pas les règles de circulation est assujetti à diverses sanctions pouvant aller jusqu’au dépôt d’une plainte au comité de discipline ou à l’interdiction de circuler sur le campus.
Adopter une conduite responsable, c’est améliorer notre sécurité au quotidien!
Collaboration de Sophie Ménard, psychologue, Services aux étudiants
Cet article présente les sources de stress générales des étudiants et d’autres, spécifiques aux étudiants vivant un processus d’adaptation culturelle, ainsi que quelques pistes pour y faire face. Soyons clairs: les études universitaires sont stressantes, et encore plus à l’étranger!
Les études sont, par définition, un processus où chacun est poussé hors de son champ de compétence afin d’acquérir de nouvelles connaissances et habiletés. Il s’agit donc d’un processus où les étudiants sont continuellement hors de leur zone de confort, en plus d’être régulièrement évalués sur leurs apprentissages. Il s’agit là de deux éléments stressants en soi.
De plus, les étudiants sont confrontés à plusieurs tâches exigeantes qui se superposent les unes aux autres et qui peuvent créer un effet de débordement:
Voilà donc un portrait qui peut expliquer le stress vécu par plusieurs. Il est donc important de gérer son temps intelligemment en prévoyant du temps pour chacune de ces sphères.
Regardons maintenant certaines des tâches supplémentaires auxquelles doivent faire face les étudiants en provenance d’un autre pays.
Plongés dans une autre culture, les repères les plus usuels disparaissent : quand et de quelle manière saluer une personne, quand accepter (ou non) une invitation, de quelle manière le temps est perçu et géré, quel genre de relation établir avec ses professeurs. Toutes ces choses qui vont relativement de soi pour la plupart des gens deviennent des sources potentielles de stress et d’incompréhension. Dans les différences notables souvent rapportées, signalons l’adaptation à un système scolaire différent, incluant une gestion autonome de son temps, la présence importante de travaux d’équipe et de demandes des professeurs de participer en classe et d’émettre son opinion, caractérisant le système scolaire québécois. De plus, les relations avec les compatriotes, le fait de vivre loin de sa famille d’origine et le désir de se faire des amis hors de sa culture ajoutent à la charge cognitive et émotive vécue par les étudiants en provenance d’une autre culture. S’ajoutent à cela une multitude de petits irritants : difficulté à trouver ou préparer la nourriture qu’on aime, le manque de lumière, les difficultés de sommeil, le froid, etc!
Il est normal de vivre, après un certain temps dans une autre culture ce que l’on appelle un choc culturel. Pour plus d’informations à ce sujet, consultez cet article:
De plus, afin de mieux connaître les différentes étapes du choc culturel, consultez cet article de l’Université Laval.
Mentionnons que pour plusieurs, le stress vécu se manifeste par des difficultés de sommeil. Le choc culturel est un état normal auquel sont confrontés les nouveaux arrivants, même s’ils ont déjà voyagé auparavant. Voici quelques stratégies d’ajustement favorisant l’adaptation à une culture différente et atténuant l’impact négatif du stress :
Un atelier sur la gestion du stress et le sommeil sera offert le jeudi 9 février à 13h30. Cette rencontre est gratuite et le local sera publicisé sous peu dans les Événements de l’Entête et sur le site www.uqtr.ca/sae-psycho.
Si vous souhaitez une consultation en lien avec la gestion du stress, les difficultés de sommeil, l’adaptation culturelle ou tout autre motif, contactez le secrétariat du Service de psychologie des Services aux étudiants, situé au 1261 Albert-Tessier (face à la coop) ou téléphonez au 819 376-5011 poste 6056.
Affaires étrangères et Commerce international Canada. (2015). Atténuer le choc culturel. Repéré le 9 mars, 2016.
Saviez-vous que, depuis 2013, les membres de la communauté universitaire peuvent compter sur le support de l’équipe des Sentinelles pour apporter des actions concrètes en prévention du suicide?
Dans le cadre de la 27e Semaine nationale de prévention du suicide qui se déroulera du dimanche 29 janvier au samedi 4 février 2017, nous tenons à vous rappeler que les sentinelle sont présentes pour vous.
Qu’est-ce qu’une sentinelle?
Une sentinelle est une personne intéressée à s’impliquer en prévention du suicide. C’est une personne disposée à recevoir les confidences de son entourage, qui sait faire preuve de vigilance, qui a de bonnes capacités d’accueil et d’écoute et qui a naturellement le goût d’aider. Une sentinelle n’est pas recrutée sur la base de ses connaissances et de ses habiletés professionnelles et elle ne doit pas non plus se substituer à un intervenant professionnel. Elle doit plutôt diriger la personne en détresse ou son entourage vers les ressources en prévention du suicide, en fait elle assure le lien entre la personne suicidaire et les intervenants.
Quelques sentinelles du réseau de l’UQTR : En haut de la gauche : Daniel Lepage, France Bolduc, Diane Désy, Ginette Bordeleau, Daniel Bellefleur. Milieu : Lyne Tardif, Nathalie Cardinal, Anne Marie Hivon, Hélène Francoeur, Valérie Larose, Véronique Lagacé. En bas, de la gauche : Johanne Cyr, Nicole Hivon, Marc Godbout, Chantal Turgeon, Céline Leblanc.
Pour consulter la liste des Sentinelles, cliquez ici.
Quel est le rôle d’une sentinelle?
Le rôle de la sentinelle est de dépister, guider et orienter les personnes suicidaires vers les ressources appropriées ainsi que leur entourage. On peut comparer le rôle d’une sentinelle à celui d’une personne qui donne les premiers soins, qui agit promptement, qui assure un soutien en attendant que les spécialistes prennent la relève. Ce rôle est bénévole, informel et confidentiel et s’accomplit dans le cadre de ses activités habituelles.
Le rôle de sentinelle se résume ainsi :
Une sentinelle ne porte pas seule la responsabilité d’intervenir et doit faire valider ses démarches par un intervenant du Centre de prévention suicide. Elle obtient également du soutien de cet organisme, ce qui lui permet d’évacuer le stress et la tension reliés à son rôle. Pour ceux et celles qui font partie d’un ordre professionnel, une formation d’intervenant est disponible.
Pour joindre Prévention Suicide 24h/24: 1-866-APPELLE
Pour plus d’information, nous vous invitons à consulter le www.uqtr.ca/sentinelles.
Nouvelles sentinelles en prévention du suicide au campus de Drummondville
Trois-Rivières, le 7 février 2017 – La Fondation de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a présenté hier sa cérémonie annuelle de remise de bourses au Centre de l’activité physique et sportive (CAPS) Léopold-Gagnon de l’UQTR. Grâce à la générosité de nombreux donateurs, les étudiants lauréats se partageront près de 700 000$ pendant l’année financière 2016-2017.
Grâce à la générosité de nombreux donateurs, les étudiants lauréats se partageront près de 700 000 $ pendant l’année financière 2016-2017.
Réunissant quelque 500 invités, cette cérémonie a permis de remettre la majeure partie (442 000$) des bourses attribuées cette année. Au cours de la soirée, la Fondation a souligné de façon particulière l’excellence et l’implication des étudiants boursiers, dans les domaines universitaire et social. Des lauréats de tous les cycles d’études ont vu ainsi leur labeur récompensé par l’obtention d’un soutien financier favorisant la poursuite de leur formation.
Le président du conseil d’administration de la Fondation, M. André St-Onge, a tenu à complimenter les étudiants boursiers. « Je tiens à féliciter chaleureusement tous les boursiers honorés ce soir pour les efforts constants et la persévérance qu’ils déploient dans leurs études. La cérémonie de ce soir est un hommage à votre réussite et je vous souhaite le meilleur dans la poursuite de vos études.»
Pour sa part, le recteur de l’UQTR, M. Daniel McMahon, a rappelé que «la cérémonie de remise de bourses de ce soir sert à exprimer notre fierté en soulignant les efforts, la constance, le talent et l’implication des étudiants, tant au plan académique que sur le plan de l’engagement. Les bourses qui leur sont décernées aujourd’hui attestent de l’excellence de leur parcours et se veulent une façon de les encourager à poursuivre dans la voie qu’ils ont choisie. L’avenir s’ouvre devant eux. Un merci sincère aux précieux donateurs qui croient au potentiel de nos étudiants et qui nous font confiance».
De son côté, le directeur général de la Fondation, M. Daniel Milot, a souligné l’engagement philanthropique des précieux donateurs qui contribuent généreusement à la réussite étudiante: «Par votre geste, vous clamez haut et fort que le soutien à l’éducation supérieure est primordial pour la société d’aujourd’hui et de demain. Vous redonnez aux étudiants, aux professeurs, aux chercheurs et indirectement à tous les membres de la communauté universitaire afin d’offrir un milieu d’apprentissage dynamique et résolument tourné vers l’avenir.»
Cette année encore, un grand nombre de donateurs ont encouragé financièrement la cause étudiante de l’UQTR. Ces partenaires ont été conviés sur scène, tout au long de la cérémonie, afin d’y rencontrer les étudiants lauréats et leur remettre diverses bourses. Une étudiante au baccalauréat en communication sociale (lettres et communication), Mme Fannie Massey, a également pris la parole pour remercier les donateurs et rappeler l’importance et l’utilité concrète des bourses offertes aux lauréats.
La Fondation de l’UQTR
Depuis sa création en 1986, la Fondation de l’Université du Québec à Trois-Rivières consacre tous ses efforts à soutenir les étudiants, les activités de recherche et le développement de l’UQTR. À ce jour, elle a versé près de 45 millions de dollars à ces causes, dont plus de 10 millions en bourses aux étudiants.
Ayant à son actif trois campagnes majeures et des campagnes annuelles de financement, la Fondation a pu ainsi répondre aux besoins des étudiants, des professeurs et des chercheurs, tout en contribuant aux projets structurants de l’Université et en édifiant un important fonds général de dotation.
Les principaux donateurs de la Fondation sont les gens d’affaires, les entreprises, les fondations, les associations et ordres professionnels ainsi que les diplômés, employés, retraités, étudiants, parents d’étudiants et amis de l’UQTR.
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Source
Fondation de l’Université du Québec à Trois-Rivières
Renseignements et coordination d’entrevues
Valérie Baril-Sabourin
Responsable des communications
Fondation de l’Université du Québec à Trois-Rivières
Tél. : 819 376-5011, poste 2565
Courriel : Valerie.baril-sabourin@uqtr.ca
Après le succès obtenu en mars 2016, l’Université du Québec à Trois‑Rivières (UQTR) se prépare de nouveau à accueillir des apprenants adultes pour une immersion dans le monde fascinant des enquêteurs spécialisés en scènes de crime.
Les activités de formation affichent déjà complet.
Ce sont des étudiants de troisième année au baccalauréat en chimie (profil criminalistique) ou à la maîtrise qui offriront la formation aux apprentis enquêteurs durant les deux soirées destinées à la découverte des sciences médicolégales. Parmi les techniques enseignées, les participants pourront s’initier aux analyses d’empreintes digitales et à l’analyse de documents.
«Nous avons connu beaucoup de succès lors des deux derniers été avec le camp de vacances pour enfants CSI-UQTR, si bien que les parents des participants nous avaient fait part de leur propre souhait de participer à une expérience du même genre. L’idée a fait son chemin et l’an dernier nous avons développé une formule qui permet aux adultes de plonger dans cet univers, que plusieurs découvrent avec intérêt en regardant les nombreuses séries policières présentées à la télévision. L’engouement a été tellement grand que nous répétons l’expérience cette année», explique M. Hugo Germain, professeur au Département de chimie, biochimie et physique.
Les participants seront divisés en deux groupes. Le premier groupe participera les 28 mars et 4 avril, tandis que les participants du deuxième groupe accéderont aux laboratoires les 30 mars et 6 avril. Dans les deux cas, les activités auront lieu au Centre intégré en pâtes et papiers (CIPP) de l’UQTR, de 18h30 à 21h.
Tout comme l’an dernier, le nombre maximal d’inscriptions à cette populaire activité a été atteint en quelques heures seulement.
Le Service de la bibliothèque de l’Université du Québec à Trois-Rivières est fière de participer, en concertation avec les bibliothèques des 18 universités québécoises, à la campagne Ma bibliothèque, j’y vais! lancée l’automne dernier.
Rappelons que la Déclaration des bibliothèques québécoises, document déposé le 19 octobre dernier à l’Assemblée nationale par la Table permanente de concertation des bibliothèques québécoises, réaffirme la contribution incontournable des bibliothèques à la vitalité sociale, à la prospérité économique et à la richesse culturelle de la société québécoise. À la suite de cet événement, une campagne promotionnelle visant à démontrer l’importance des bibliothèques a vu le jour. Dany Laferrière, Guy A. Lepage, Yannick Nézet-Séguin, Jean-Marie De Koninck et le Dr Gilles Julien figurent parmi les 28 personnalités publiques qui prêtent leur voix à la campagne Ma bibliothèque, j’y vais !
«La bibliothèque est un lieu de savoir, de connaissance et de partage. Celle de l’UQTR n’y fait pas exception. Elle est au cœur même de notre mission d’enseignement et de recherche.»
Daniel McMahon, recteur
Tout comme les autres bibliothèques universitaires québécoises, le Service de la bibliothèque de l’UQTR vient de se joindre à la campagne. Des membres de notre communauté universitaire témoignent autant de leur attachement aux bibliothèques que de l’importance de celles-ci pour la société. Il s’agit de Daniel McMahon, recteur; Sébastien Charles, doyen de la recherche et de la création; les professeurs Marc-André Bernier, Martine Brousseau, Lucia Ferretti et Mathieu Point, ainsi que Ninia Piol Phan, étudiante en science de l’éducation au campus de Drummondville. Les témoignages peuvent être consultés sur la chaîne YouTube Bibliothèque-UQTR.
Il est possible pour vous de témoigner de l’importance qu’a votre bibliothèque à vos yeux. Vous pouvez partager vos témoignages sur les réseaux sociaux avec le mot-clic #mabibliothequejyvais ou encore sur le site Web de la campagne mabibliothequejyvais.com. Profitez-en pour découvrir les autres témoignages.
Pour en savoir plus sur la Déclaration des bibliothèques québécoises ou encore sur la campagne associée, consultez le site Web mabibliothequejyvais.com.
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Collaboration de Michaël Lemire, consultant au service de psychologie, Services aux étudiants
Dans une société hautement compétitive, nous avons régulièrement tendance à nous comparer aux autres et à nous juger négativement. Ce jugement est naturel, car il y aura toujours quelqu’un de plus intelligent, de plus beau ou qui a mieux réussi que nous. Nous appelons ce comportement l’autocondamnation.
Comment sortir du cercle vicieux de l’autocondamnation? La réponse serait en nous. Il suffirait de cesser une fois pour toutes de se juger et de s’évaluer. Arrêter de se coller des étiquettes «bien» ou «mal» et simplement s’accepter. En d’autres termes, s’accorder autant de sollicitude, de bienveillance et de compassion que l’on offrirait à un ami, voire à un pur inconnu. Ce concept se nomme l’autocompassion (Neff, 2011).
L’autocompassion réunit 3 attitudes fondamentales:
Se considérer avec bienveillance implique d’arrêter de se juger constamment et de couper court à ses commentaires intérieurs dépréciateurs. Cette attitude implique aussi d’accepter de se laisser toucher par sa propre douleur et chercher à la soulager.
Reconnaître son humanité implique l’acceptation que tous les humains sont faillibles et que les regrets et les mauvaises décisions sont inévitables. Reconnaître que des milliards de personnes ont pu vivre le même genre de difficultés que nous apaise notre souffrance et fait en sorte que nous nous sentons moins isolés des autres.
Pratiquer la pleine conscience implique d’avoir une vision claire de ce qui se passe dans l’instant présent et de l’accepter sans jugement. L’idée est de voir les choses telles qu’elles sont afin de répondre à la situation immédiate avec le plus de compassion, et donc d’efficacité possible.
Pensez à certaines difficultés que vous vivez présentement. Par exemple, peut-être avez-vous reçu un résultat à un examen dont vous êtes insatisfait et vous avez alors tendance à vous comparer à vos collègues de classe et à vous sentir inférieur, voire moins brillant que les autres? Dans le cas de cette difficulté ou de n’importe quelle autre difficulté, prenez soin de vous et accueillez votre souffrance. Il est possible dans ces moments pénibles de réciter un mantra tel que celui-ci:
Je vis présentement un moment de souffrance.
La souffrance fait partie de la vie.
Puis-je me montrer bienveillant envers moi-même en cet instant?
Puis-je m’accorder la compassion dont j’ai besoin?
Comme on peut l’observer, l’autocompassion ne cherche pas à modifier notre image afin de la rendre plus acceptable en toute circonstance, mais nous reconnaît comme des êtres humains dotés de forces et de faiblesses. Il n’est pas nécessaire d’être hors du commun ou d’atteindre ses idéaux pour éprouver du bien-être. Il suffit de s’accueillir affectueusement dans toute sa fragilité, son imperfection et sa beauté. Ainsi, en nous accordant la compassion que nous méritons, nous prenons conscience que joie et souffrance, ainsi que succès et échecs font partie intégrante de l’expérience humaine dans sa totalité.
Voici quelques exemples des bienfaits reliés à l’autocompassion:
En conclusion, retenons que l’autocompassion nous offre un havre de calme, un refuge où l’on peut arrêter de se juger. C’est quand nous échouons ou que les choses tournent mal qu’elle est la plus utile. En soi-même se trouvent l’affection et le soutien chaleureux dont chacun a besoin. Tout ce qui nous avons à faire, c’est de nous détendre en fin de journée, d’accepter la vie telle qu’elle est et de nous faire bon conseil. Un comportement plus facile à adopter qu’on le pense souvent, et qui pourrait transformer votre vie.
Le Service de psychologie des Services aux étudiants offre un service de consultation psychologique pour les étudiants. Vous pouvez vous présenter au 1261, pavillon Albert-Tessier, ou téléphoner au 819 376-5011, poste 6056 pour de l’information ou pour prendre rendez-vous, ou consulter la section Service de psychologie du site Web des Services aux étudiants.
Références
MacBeth, A., & Gumley, A. (2012). Exploring compassion: A meta-analysis of the association between self-compassion and psychopathology. Clinical Psychology Review, 32(6), 545-552. doi : 10.1016/j.cpr.2012.06.003
Neff, K. (2011). S’aimer: comment se réconcilier avec soi-même. Paris, Belfond.
Neff, K., & Beretvas, S. N. (2013). The role of self-compassion in romantic relationships. Self and Identity, 12(1), 78-98. doi: 10.1080/15298868.2011.639548
Neff, K., Kirkpatrick, K. L., & Rude, S. S. (2007). Self-compassion and adaptive psychological functioning. Journal of Research in Personality, 41(1), 139-154. doi: 10.1016/j.jrp.2006.03.004
L’UQTR… Je me souviens…
De ma première rentrée d’automne.
Des couleurs, et du temps qui frissonne.
Des professeurs et des amis.
Des examens et des partys.
L’année où Trois-Rivières est devenue le centre de mon univers. L’année où le Québec a commencé à teinter mon accent créole.
Je viens de l’île de la Réunion, île tropicale et volcanique, petit bout de France dans l’océan Indien. Je viens d’un système scolaire élitiste et exigeant, qui pourtant nous trahit et nous laisse sans perspective d’emploi à l’aube de l’âge adulte.
Alors un jour, à la croisée des chemins, cette annonce dans le journal local retient mon attention: «Les Universités du Québec recrutent». Une conférence, une rencontre, quelques images et le nom d’un programme. L’agente de recrutement me convainc. Je fais le choix d’un ailleurs.
Quelques mois plus tard, je découvre les rues du centre-ville de Trois-Rivières à travers les vitres de l’autobus en provenance de Montréal, et cela ne ressemble à rien de ce que j’avais déjà vu ou imaginé. Des chansons de Joe Dassin me trottent dans la tête. L’Amérique, deux valises et l’énergie de la jeunesse. Je sens qu’ici tout est possible.
Premier cours, premières impressions…
Nous sommes quarante étudiants dans l’amphithéâtre. Personne n’est assis par terre. Le professeur nous demande de nous présenter, et semble faire un effort sincère pour retenir nos noms. La session avance. Je vais de surprise en surprise. J’ai accès à du matériel informatique de qualité, je développe des compétences techniques et concrètes relatives à mon domaine d’études.
Ici, la théorie n’est pas une fin en soi. Elle vise à soutenir la pratique, dans un va-et-vient constant au cours duquel les remises en question sont encouragées. Ma conception de l’apprentissage et de l’enseignement subissent un profond et salutaire changement de paradigme: penser par soi-même. Apprendre à s’organiser. Pratiquer, pratiquer, pratiquer. Travailler en équipe. Échouer et y voir une occasion d’apprendre. Demander de l’aide à son professeur. Développer son autonomie.
Assez rapidement, j’acquiers la certitude que je suis très exactement à ma place. Baccalauréat, Maîtrise, stage, emploi. Je n’ai plus jamais quitté les murs accueillants et stimulants de l’UQTR. Ces quatre lettres sont tatouées — sur ma cheville, car je demeure une fille des îles — et signifient pour moi: Univers des possibles, Qualité de l’enseignement, Travail et Réussite.
Ah, comme la neige a neigé depuis ma première graduation… J’ai construit une maison, j’ai fondé une famille, je suis devenue canadienne.
Grâce à mon travail à l’École internationale de français, je côtoie des étudiants étrangers qui ont choisi l’UQTR pour grandir et s’épanouir. Et lorsque je reconnais dans leurs yeux cette étincelle d’excitation mêlée d’angoisse qui caractérise l’éclat inoubliable d’une première rentrée… alors, je me souviens.
Manon Lienard
Les modalités d’attribution des permis de stationnement pour la session d’été 2017 ont été mises à jour sur la page Web du stationnement!
Les employés qui désirent obtenir un permis de stationnement doivent se présenter au Centre de ressources multiservice.
Les étudiants inscrits à au moins 1 cours à la session d’été peuvent se procurer un permis de stationnement «Campus général été»
Les étudiants inscrits à au moins 1 cours à la session d’été et ayant obtenu un permis « Réservé résidences » aux sessions d’automne et d’hiver obtiendront, sur demande, le permis «Campus général été» gratuitement.
Le permis de stationnement «Campus général été» sera mis en vente au Centre de ressources multiservice à partir du 18 avril 2017.
Le permis «Campus général été» est valide sur le campus du 1er mai au 31 août 2017.
À partir du 29 avril 2017, le stationnement sera considéré comme étant hors des heures d’affluence. Ce qui signifie que les permis de stationnement seront valides pour tous les espaces de stationnement sur le campus (sauf indication contraire).
Le stationnement est gratuit du vendredi 17h au dimanche 24h.
Le stationnement n° 8 est gratuit du 29 avril au 5 septembre 2017 inclusivement.
Le « laissez-passer STTR » sera disponible au Centre de ressources multiservice à partir du 27 avril 2017.
Pendant la session d’été, les circuits n°21, 22 et 23 sont interrompus (stationnement alternatif – campus). Consultez l’onglet «Transport en commun» de la page Web du stationnement pour plus d’information.
Des espaces de stationnement pour personnes handicapées sont disponibles gratuitement aux détenteurs d’une vignette de stationnement pour personne handicapée telle que définie par la SAAQ.
La vente des permis de stationnement est normalement annoncée 30 jours avant le début de chaque session. L’information sera diffusée sur cette page, sur le Portail étudiant et sur le Personet.
